Complétement d'accord avec TF1

Voici un article parut sur TF1.fr:

"La fierté d'Apple est parfaitement traduite dans le nouveau slogan : « mais où est passé l'ordinateur ? ». Un slogan qui vise le grandpublic, tout comme l'ordi en lui-même. Les prix sont relativement raisonnables, connaissant les habitudes d'Apple. Le premier modèle, un écran 17 pouces équipé d'un lecteur combo, doté d'un processeur G5 à 1,6Ghz et d'un disque dur de 80 Go, est vendu à 1399 euros. Le modèle haut de gamme avec écran 20 pouces, graveur de DVD et 160 Go de disque dur est à 2059 euros. Pour comparaison, Sony, qui le premier a vendu des ordinateurs de bureau à écran plat tout en un propose l'équivalent de l'i ?ac à 1500 euros avec un é cran de 15 pouces seulement.

Certains regretteront l'aspect, qui n'a pas la qualité professionnelle (en aluminium brossé) des G5 classiques. Mais surtout, aucun des nouveaux iMac ne comprend le Blueetooth et le WiFi en série. Une décision aberrante à l'heure où ces deux protocoles de réseaux sans fil se développent vraiment et où Apple a clairement affiché sa volonté d'investir ce domaine avec l'Airport Express. Comme toujours avec Apple, il vaudra peut-être mieux attendre une correction de la gamme dans les mois qui vient. Le G5 sera disponible le 15 septembre."

Ca nous change de l'Ile de la Tentation!

Comments

[Jé]

Bon, bon ! C'était juste pour replacer ma petite citation ;-)
Moi aussi je vais me lancer dans le business du cerveau humain, hrmm slurrrp niark niark !

[petitguigui]

Il faut lire les articles en entier cher Jé.

"Ca nous change de l'Ile de la Tentation!"

Tu pourrais aussi citer Chirac "le bruit et l'odeur" dans le rayon de la contradiction prémachée. ;-)

Alors t revenu de vacances mon coquin?

[Jé]

extrait de la pensée de Patrick Le Lay, PDG de TF1 :

Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective business, soyons réaliste: à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit. (...) Or pour qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible.